Lomé, la capitale togolaise, a accueilli cette semaine la 37ème session ordinaire du conseil des ministres de tutelle de la Conférence interafricaine de la prévoyance sociale (CIPRES). À cette occasion, la Côte d’Ivoire, portée par son ministre de l’Emploi et de la Protection Sociale, Adama Kamara, a partagé son expérience sur la Couverture Maladie Universelle.
Un espace pour des solutions sociales durables. Créée en 1993, la CIPRES regroupe 17 États membres et vise à renforcer et harmoniser les politiques de prévoyance sociale sur le continent. Ce cadre est une plateforme où les pays partagent leurs expériences et adoptent des solutions adaptées aux réalités africaines.
La Côte d’Ivoire : une réussite sous le leadership du président Ouattara
Au cœur des succès ivoiriens se trouve la vision claire et ambitieuse du président ivoirien Alassane Ouattara, qui a fait de la Couverture Maladie Universelle (CMU) un pilier de sa politique sociale. Ce programme a permis d’enrôler plus de 55 % de la population, offrant à des millions d’Ivoiriens un accès à des soins de santé de qualité à partir de 1000 francs de cotisation mensuelle.
Le ministre Adama Kamara, fidèle soutien du président Ouattara, joue un rôle central dans la concrétisation de cette vision. Grâce à son dynamisme et à sa détermination, la CMU est devenue un modèle en Afrique, prouvant qu’il est possible de combiner ambition et pragmatisme pour bâtir un système inclusif. « L’engagement du président Alassane Ouattara pour un développement social durable est une source d’inspiration pour tous. Je suis honoré de porter cette vision et de travailler pour le bien-être de chaque Ivoirien », a déclaré Adama Kamara dans son discours à Lomé.
L’appui de la Banque mondiale et une reconnaissance internationale
Ce succès ivoirien n’aurait pas été possible sans le soutien de partenaires internationaux comme la Banque mondiale. Leur appui financier et technique a permis d’accélérer la mise en œuvre de la CMU, notamment en renforçant les capacités locales et en modernisant les infrastructures nécessaires. Lors de la CIPRES, le modèle ivoirien a impressionné les participants, qui ont salué sa structure inclusive et son impact tangible sur la vie des citoyens. Plusieurs pays ont exprimé leur intérêt à s’en inspirer pour développer leurs propres systèmes.
Adama Kamara : un artisan de la protection sociale africaine
Ministre engagé, Maître Adama Kamara, s’est illustré par son expertise. Son attachement à la vision du président Ouattara et son rôle actif dans la promotion d’un modèle social équitable lui valent aujourd’hui une reconnaissance au-delà des frontières ivoiriennes. La CIPRES 2024 aura confirmé une chose : la Côte d’Ivoire, grâce au tandem formé par le président Ouattara, est un exemple éclatant de ce que l’Afrique peut accomplir en matière de protection sociale. Un modèle à suivre pour bâtir un continent plus solidaire.
Un modèle économique innovant
Le succès ivoirien suscite un vif intérêt parmi d’autres pays africains. Cela pourrait générer un flux d’investissements et de collaborations intra-africains, renforçant la coopération régionale. De plus, le modèle ivoirien, axé sur l’inclusion et la durabilité, offre une preuve que des réformes sociales ambitieuses peuvent être menées à bien avec une gestion rigoureuse et des objectifs clairs. La CMU ivoirienne représente un modèle économique innovant pour le continent africain.
En combinant une accessibilité financière, un soutien international, et une gouvernance efficace, la Côte d’Ivoire illustre la possibilité de bâtir des systèmes de protection sociale inclusifs et viables. Ce modèle, en plus de ses impacts directs sur la santé et le bien-être, contribue au renforcement de la stabilité économique et sociale, tout en inspirant d’autres nations africaines à adopter des réformes similaires.